Des précipitations jamais enregistrées depuis cent ans. Des températures inconnues de l’histoire. Des tornades qui détruisent des villes. Chaque jour, un nouveau coup de force de la nature. Argentine, Italie, Russie, États-Unis, France...
C’est la chronique des catastrophes naturelles d’une semaine, du 14 au 20 mai 2025. En réalité, c’est la chronique du futur.
Mais pourquoi un problème mondial, qui menace l’humanité, est-il ignoré avec tant d’obstination ? Aujourd’hui, vous aurez la réponse à cette question.
Peut-être ressentez-vous, après avoir vu une nouvelle vidéo sur les catastrophes climatiques, cette question intérieure : « Pourquoi la menace qui pèse sur l’humanité est-elle ignorée ? Il faut pourtant agir d’urgence. »
Si vous ressentez cela, c’est que vous êtes cette personne pour qui la conscience et la quête de vérité ne sont pas que des mots, mais ont un sens profond.
Mais avez-vous remarqué qu’en à peine deux jours, la perception aiguë du problème disparaît ? Ce qui semblait clair, important et nécessitant une action immédiate devient soudainement lointain et perd de son actualité — notre conscience se détourne simplement vers autre chose.
Savez-vous pourquoi cela se produit ? C’est un mécanisme intégré à notre psyché : lorsque nous sommes confrontés à une information effrayante — surtout si elle concerne un problème sur lequel nous pensons ne pas avoir de prise — notre esprit cherche à se protéger. Il repousse cette connaissance anxiogène, il murmure : « Plus tard. Pas maintenant. Ce n’est pas mon problème. » Et nous acceptons cela.
À la base de cette paralysie psychologique se trouve la peur. Nous avons peur du changement, peur des conséquences, et surtout peur de prendre la responsabilité de notre propre destin et de celui de nos proches. C’est cette peur qui fait de nous des spectateurs, et non des acteurs.
Mais lorsque la catastrophe survient quand même, chaque personne se pose la même question : « Pourquoi ? Pourquoi moi ? »
La réponse est simple : parce qu’au moment où il fallait choisir d’entendre la vérité ou de se détourner, tu t’es détourné. Quand il était encore possible d’agir, tu as eu peur, tu as remis à plus tard, tu n’as pas transmis la vérité aux autres.
Le problème n’est pas l’absence de solutions. Nous avons les connaissances et les technologies pour faire face au problème climatique !
Mais pour y parvenir, il faut la participation de tous. C’est la responsabilité personnelle de chacun d’entre nous. Il n’y a personne d’autre.
Et si nous ne commençons pas à agir — personne ne le fera à notre place.
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