Dans cette édition, en plus de la revue des événements climatiques de la semaine passée, du 23 au 29 juillet 2025, nous souhaitons à nouveau soulever la question de l’augmentation du nombre et de la puissance des séismes.
Pourquoi ce sujet est-il aujourd’hui l’un des plus importants ?
Parce que nous, en tant qu’humanité, sommes au seuil de catastrophes naturelles de grande ampleur, et notre objectif principal est de toucher les personnes raisonnables afin de sauver un maximum de vies et d’éviter le pire.
Tout au long de la semaine, une activité sismique très élevée a été observée sur la planète. Des séismes puissants de magnitude supérieure à 6,0 se produisaient presque quotidiennement, voire plusieurs fois par jour, notamment dans les régions des îles Wallis-et-Futuna, Sulawesi, Tonga, Macquarie, des îles Andaman et Nicobar, ainsi que dans le sud de l’océan Pacifique.
Heureusement, certains de ces séismes ayant eu lieu dans des zones isolées, et d'autres ayant des foyers très profonds, ils n’ont pas entraîné de conséquences visibles pour les populations.
Cependant, les événements sismiques les plus marquants de la semaine sont liés à la péninsule du Kamtchatka, en Russie, où une série de séismes de magnitude atteignant ou dépassant 6,0 dure déjà depuis 10 jours. Les spécialistes pensaient qu’il s’agissait de répliques tardives d’un puissant séisme de magnitude 7,6 qui avait secoué la région le 20 juillet.
Mais il s’est avéré qu’il ne s’agissait que de précurseurs — des secousses annonçant l’un des six séismes les plus puissants de l’histoire moderne de la planète.
Ce séisme s’est produit le 30 juillet, à 149 km de la capitale régionale, Petropavlovsk-Kamtchatski, à une profondeur de 17 km, avec une magnitude de 8,8.
Une série de puissants séismes au Kamtchatka, Russie
Le directeur de la branche du Kamtchatka du Service géophysique unifié de l’Académie des sciences de Russie, Danila Tchebrov, l’a qualifié « d’événement d’échelle planétaire ».
Même les habitants du Kamtchatka, pourtant habitués à l’activité sismique, ont été choqués par la durée de la secousse. Selon des témoins, le tremblement a duré plus de trois minutes.
Les secousses ont été ressenties sur toute la péninsule du Kamtchatka : les bâtiments, voitures et grues oscillaient, des meubles sont tombés, des fissures sont apparues dans les habitations. Dans le district d’Elizovo, la façade d’une école maternelle s’est effondrée, et des bâtiments de l’université régionale ainsi que de l’aéroport local ont été endommagés.
Conséquences des puissants séismes sur le Kamtchatka russe : dans le district d’Elizovo, un mur d’une école maternelle s’est écroulé
Selon le ministère de la Santé, plusieurs personnes ont été blessées, certaines en tentant de fuir les bâtiments, d’autres en sautant par les fenêtres. Le nombre d’appels aux services d’urgence a fortement augmenté : les gens se plaignaient de pics de tension artérielle, d’arythmie, de crises d’épilepsie et de panique.
Au 31 juillet, près de 1 000 répliques avaient déjà été enregistrées en 24 heures après la secousse principale, atteignant des magnitudes allant jusqu’à 6,7.
Les secousses se succédaient à quelques minutes d’intervalle.
Plus de 5 000 personnes ont été évacuées vers des zones sûres.
Des alertes au tsunami ont été rapidement émises. Dans le district d’Elizovo, les vagues ont atteint 3 à 4 mètres de haut, et jusqu’à 5 mètres dans les îles Kouriles. Dans la ville de Severo-Kourilsk, l’eau a pénétré jusqu’à 200 mètres à l’intérieur des terres, inondant le port et causant des dommages aux entreprises de pêche. Le campement d’une expédition scientifique sur l’île de Choumchou a également été submergé.
Entreprise de pêche inondée après un puissant séisme au Kamtchatka, Severo-Kourilsk, île de Paramouchir, Russie
L’alerte au tsunami a été déclarée dans de nombreux pays de la région du Pacifique, notamment au Japon, en Chine, aux États-Unis, en Indonésie, au Chili, au Pérou et en Équateur.
Hauteur des vagues dans différentes régions : préfecture de Hokkaidō, Japon — environ 1,3 mètre, Hawaï, États-Unis — jusqu’à 1,7 mètre, Chili et Pérou — 30 à 40 centimètres.
Une évacuation d’urgence de la population a commencé dans les zones côtières basses.
Au Japon, environ 2 000 000 de personnes ont dû quitter les zones à risque. Le trafic ferroviaire a été interrompu, et l’aéroport de Sendai a été temporairement fermé.
Les autorités chiliennes ont mené l’une des plus grandes opérations d’évacuation du pays : selon le ministère de l’Intérieur,1 400 000 personnes ont été déplacées vers des hauteurs.
À Hawaï, d’immenses embouteillages se sont formés sur plusieurs kilomètres, les ports ont été fermés et des vols annulés.
Aux États-Unis, les vagues ont atteint les côtes des États de Washington, de Californie, de l’Oregon et de l’Alaska.
Au même moment, une éruption a commencé au volcan Klioutchevskoï, en Russie. De la lave en fusion a dévalé le versant ouest du volcan, tandis qu’une lueur intense s’élevait au-dessus du cratère, accompagnée d’explosions.
Les volcanologues du Kamtchatka associent l’activation du Klioutchevskoï au séisme survenu récemment.
Le 26 juillet, un immense gouffre est soudainement apparu sur une rue très fréquentée du quartier Tanjong Katong, à Singapour. Une voiture en mouvement y est tombée. Le véhicule a pratiquement été englouti sous terre, et le cratère s’est rapidement rempli d’eau.
L’effondrement a touché deux voies de circulation et endommagé deux conduites d’eau. La voiture a été retirée du trou à l’aide d’une grue. La conductrice, en état de choc, a été hospitalisée.
Un cratère géant dans une rue de Singapour a englouti une voiture
Les Philippines ne s’étaient pas encore remises des conséquences du typhon Wipha qu’une nouvelle tempête tropicale — Koguma (nom local : Emong) — a frappé le pays.
Le soir du 24 juillet, devenu typhon, il a touché la ville d’Agno, dans la province de Pangasinan, avec des rafales de vent atteignant 165 km/h. Les pluies saisonnières qui avaient commencé plus tôt avaient déjà causé de vastes inondations, et ce nouveau coup de la nature n’a fait qu’aggraver la situation.
Inondation dévastatrice aux Philippines à la suite de la tempête tropicale Koguma
Selon les données officielles, 278 000 personnes ont été évacuées et environ 3 000 habitations endommagées. Dans les provinces du nord, le trafic maritime et aérien a été perturbé, et les écoles ont été fermées, y compris à Manille, la capitale. Plus de 80 villes ont déclaré l’état d’urgence.
Le 25 juillet, un puissant ouragan accompagné de pluies torrentielles et de rafales de vent s’est abattu sur Astana, la capitale du Kazakhstan.
La tempête est arrivée de manière soudaine : les rues ont rapidement été inondées, le vent a arraché des arbres, des panneaux publicitaires, des revêtements de bâtiments et des structures mal fixées. Les passants étaient littéralement renversés par la force du vent. Certaines zones ont subi des coupures d’électricité. Dans un quartier de la ville, une dalle de béton est tombée sur une voiture en stationnement.
Une violente tempête s'est abattue sur la ville d'Astana, au Kazakhstan
Le 23 juillet, après une chaleur accablante atteignant +40 °C, une violente tempête a balayé la région de Volgograd.
La ville de Voljski a été particulièrement touchée. Tout s’est produit très rapidement : le ciel s’est assombri en quelques minutes, puis la tempête a éclaté avec toute sa force. Le vent en rafales a arraché les toits, déraciné les arbres, détruit les arrêts de bus et fait tomber des poteaux électriques.
Une violente tempête a endommagé un pylône de ligne électrique à haute tension dans la ville de Voljski, région de Volgograd, Russie
La ville s’est retrouvée sans eau potable, car le système de captage d’eau a été privé d’électricité. Il s’est avéré qu’aucune source d’alimentation de secours ni aucun plan d’action en cas de telles situations d’urgence n’avaient été prévus dans la ville.
Dans le port fluvial, la tempête a renversé une grue de chargement, et des bateaux ainsi que des embarcations ont été projetés sur la rive.
Les zones rurales ont également été touchées : dans certaines localités, une forte grêle est tombée, endommageant les récoltes.
Depuis le 24 juillet, de fortes pluies s’abattent sur la région de Vitebsk, en Biélorussie.
Les précipitations abondantes ont endommagé plusieurs routes et inondé des parcelles de résidences secondaires. Sur les réseaux sociaux, une vidéo est apparue où l’on voit des personnes, debout jusqu’aux genoux dans l’eau, tenter de sauver leurs récoltes.
Dans les rues inondées de la ville de Vitebsk, on a même aperçu des poissons venus d’un bassin débordé.
Le 26 juillet, en raison d’un fort débit d’eau, une partie de la berge de la Dvina occidentale s’est effondrée — un glissement de terrain s’est produit dans le quartier Verkhovye de la ville de Vitebsk.
De fortes pluies ont provoqué l’effondrement de la berge de la rivière Dvina occidentale dans la ville de Vitebsk, en Biélorussie
Une portion de terrain d’environ un hectare a glissé dans la rivière, détruisant sept dépendances et une voie technique. Heureusement, personne n’a été blessé.
Le 27 juillet, de fortes tempêtes ont traversé le sud de l’Allemagne. Dans certaines régions de Bavière, y compris la ville de Nuremberg, jusqu’à 100 mm de précipitations sont tombés en une journée. Dans certaines rues, l’eau atteignait jusqu’à 50 cm de hauteur, et dans un parking souterrain, le niveau a atteint un mètre.
Une forte pluie a inondé les rues de la ville de Nuremberg en Bavière, Allemagne
Près de la ville de Riedlingen, dans le land de Bade-Wurtemberg, un train express régional transportant environ 100 passagers a déraillé. L’opération de secours a duré toute la nuit. Des centaines de spécialistes, des hélicoptères, du matériel d’évacuation et des cynologues avec leurs chiens travaillaient sur les lieux de l’accident.
Trois personnes sont mortes à la suite de la catastrophe, au moins 40 autres ont été blessées et transportées à l’hôpital. Selon les premières données, la cause du déraillement du train serait un glissement de terrain provoqué par de fortes pluies : jusqu’à 50 mm de précipitations sont tombés en une heure.
La circulation ferroviaire sur ce tronçon a été complètement arrêtée pour une durée indéterminée.
L’Europe a été frappée par une chaleur extrême. La température en Turquie a atteint un record de 50,5 °C, en Grèce plus de 42 °C. L’air sec et le vent fort ont créé des conditions idéales pour des incendies de forêt à grande échelle. Dans plusieurs pays, le niveau d’alerte maximal a été déclaré, des milliers de personnes ont été évacuées.
Le 24 juillet, un incendie de forêt s’est déclaré dans la Turquie centrale, dans la région rurale de Seyitgazi, province d’Eskisehir.
Un groupe de 24 personnes — ouvriers forestiers et sauveteurs — tentait d’arrêter le feu en traçant des lignes de défense lorsque le vent a soudainement changé de direction. Dix personnes se sont retrouvées piégées mortellement. Malheureusement, elles sont mortes. Quatorze ont réussi à s’échapper, beaucoup d’entre elles avec des brûlures et des blessures.
Le 26 juillet, des incendies se sont déclarés à Antalya, où les flammes se sont approchées des immeubles résidentiels en hauteur, fréquentés en été par des touristes locaux et étrangers. Les habitants d’une banlieue ont été évacués en urgence, et une route côtière principale a été fermée.
Le 28 juillet, une situation dangereuse s’est produite dans la région de Bursa — la quatrième plus grande ville du pays. Le feu a ravagé une zone vallonnée autour de la ville, détruisant environ 3 000 hectares de terrain. Plus de 1 700 personnes ont été évacuées des banlieues et de plusieurs villages proches. L’autoroute reliant la ville à la capitale Ankara a été fermée.
Un incendie de forêt fait rage près de la ville turque de Bursa, créant une menace pour les zones résidentielles
Ces jours-là, la lutte contre le feu se poursuivait également dans les provinces d’Adana, Mersin et Karabük. Les provinces d’Izmir et Bilecik ont été déclarées zones sinistrées.
Au total, plus de 3 000 incendies ont été enregistrés cet été dans le pays, causant la mort d’au moins 17 personnes. 25 000 sauveteurs luttent contre le feu à travers tout le pays.
Le 26 juillet, la situation incendiaire en Grèce s’est brusquement aggravée — le feu a ravagé 55 540 hectares.
Ce jour-là environ 20 % du territoire de l'île de Kythira a été brûlé.
La Grèce souffre d'incendies naturels dévastateurs
Dans certaines régions de l’Eubée centrale, le feu a détruit des fermes — des milliers d’animaux sont morts. Le feu s’est propagé si rapidement que les propriétaires n’ont pas pu les sauver. La catastrophe a provoqué une coupure d’électricité et d’eau. Six pompiers ont été hospitalisés.
Dans le district de La Canée sur l'île de Crète, à cause de la chaleur et du vent fort dépassant 75 km/h, le feu passait rapidement d’un village à un autre.
Les habitants de sept localités ont été évacués. Les apiculteurs ont subi de lourdes pertes — les flammes ont détruit environ 2 000 ruches.
Le 27 juillet, 27 incendies de forêt ont éclaté simultanément en Sardaigne italienne. Les flammes ont envahi la plage de Punta Molentis — l’un des endroits les plus pittoresques de l’île, connue pour ses eaux turquoise et son sable blanc. Des dizaines de voitures ont brûlé sur les parkings. Le feu a coupé toutes les voies d’évacuation terrestre pour 102 personnes, dont 12 enfants. Les gens ont été évacués par la mer.
Conséquences du feu naturel — voitures brûlées sur le parking de la plage de Punta Molentis, île de Sardaigne, Italie
Le 27 juillet, la Bulgarie a également été confrontée à des incendies de forêt sans précédent, qui ont touché près de 100 localités. Le feu a détruit des maisons et des milliers d’hectares de forêt, ce qui a entraîné l’évacuation des habitants. Un vent fort compliquait la lutte contre les flammes, obligeant les pompiers à se replier. Les autorités ont demandé de l’aide à l’Union européenne. Un des volontaires a qualifié la situation de «tragédie impitoyable».
Un feu naturel catastrophique en Bulgarie détruit les forêts et menace les localités
Plus de 50 foyers actifs ont été enregistrés au Portugal, un niveau rouge de danger d’incendie a été déclaré dans presque tout le pays. Les zones les plus touchées : Arcos de Valdevez (district d’Aveiro), Ponte da Barca (district de Viana do Castelo) et Penamacor (district de Castelo Branco).
Dans la région d’Alcanede, district de Santarém, un incendie a touché une exploitation d’élevage, entraînant la mort de centaines d’animaux.
Fiery storm in Portugal — rescuers battle wildfires
Environ 3 000 pompiers, plus de 600 véhicules et plus de 12 aéronefs ont participé à l’extinction du feu.
Des incendies de grande ampleur ont également touché l’Espagne, le Monténégro, l’Albanie et plusieurs autres pays européens.
Du 1er janvier au 29 juillet 2025, 292 855 hectares ont déjà brûlé en Europe — ce qui est pratiquement le double de la moyenne pour la même période des 19 dernières années.
Selon un expert de la Commission européenne, les jours de risque extrême d’incendie ont déjà atteint un niveau qui n’était attendu qu’en 2050 : les prévisions des spécialistes se sont avérées erronées — les changements sur la planète se produisent beaucoup plus rapidement.
Les catastrophes naturelles de la semaine passée ne font que confirmer : la Terre entre dans une nouvelle phase d’activité sismique accrue. Et, malheureusement, les tremblements de terre catastrophiques sont désormais inévitables. Ce n’est ni un exagération ni une panique, mais une conclusion basée sur des tendances géodynamiques clairement observables, que l’on ne peut plus ignorer.
Autrefois, les forts séismes étaient des événements isolés, maintenant on observe une croissance exponentielle marquée de leur nombre. Et l’augmentation stable du nombre de séismes de magnitude 6,0 et plus est un signal très inquiétant. Leur force destructive n’est pas la seule menace. Nous approchons ’un seuil critique : la prochaine étape sera une augmentation de la fréquence des séismes de magnitude 7,0. Quand ces événements commenceront à se produire régulièrement, il sera déjà trop tard pour changer quoi que ce soit.
Beaucoup peuvent se demander : que peut-on faire ? Comment influencer les tremblements de terre ? Rappelons brièvement pour ceux qui n’ont pas suivi les précédents articles.
L’augmentation de l’activité sismique indique que la croûte terrestre subit une forte pression interne. Si on la réduit — la tension dans la croûte terrestre diminuera, et sa déformation aussi, ce qui aidera à réduire considérablement le nombre de tremblements de terre destructeurs. Cela peut être réalisé par une décompression contrôlée des gaz et une libération partielle de la magma des profondeurs, uniquement dans la région où le panache magmatique sibérien est déjà en train de se former.
Il est actuellement dans une phase critique. C’est pourquoi une dégazéification opportune peut non seulement empêcher l’éruption du panache, mais aussi stabiliser la situation sismique sur la planète.
À ce jour, aucune autre solution alternative, hormis celle proposée par les scientifiques d’« ALLATRA », n’a été présentée.
La prévision climatique et géodynamique faite par eux il y a plusieurs années est aujourd’hui entièrement confirmée. Cela s’explique par le fait que leurs conclusions reposent sur un modèle géodynamique complexe, prenant en compte au maximum tous les facteurs possibles.
Certains pourraient penser que nous essayons d’effrayer quelqu’un. Mais nous sommes les premiers à souhaiter que ce scénario ne devienne jamais réalité.
Cependant, compte tenu de l’augmentation actuelle de l’activité sismique, le temps où une dégazéification planifiée pourrait encore aider est de plus en plus réduit.
Aux stades avancés de la crise, elle ne stabilisera pas la situation, mais au contraire, provoquera une catastrophe.
Il ne faut pas permettre que des millions de personnes meurent simplement parce que nous n’avons pas réussi à toucher ceux qui pensent que la tragédie ne les concernera pas. La catastrophe touchera tout le monde sans exception. Même si certains se fichent de ce qui se passe dans le monde, ils tiennent à leur propre vie et au destin de leurs enfants.
Si vous pensez que votre vie a de la valeur — ne restez pas silencieux, ne rejetez pas la responsabilité sur les politiciens qui, selon vous, devraient éliminer la menace planétaire. Tant que vous ne faites rien — eux non plus ne font rien, car ils sont comme vous.
Nous croyons qu’il y a encore beaucoup parmi nous qui sont prêts non seulement à regarder et écouter, mais aussi à penser, comprendre et transmettre ce savoir.
C’est particulièrement important maintenant — il ne reste presque plus de temps pour réfléchir.
La version vidéo de cet article est disponible ici :
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